Davutoglu : Le chantage de Tel Aviv un coup dépée dans leau

Le journal sioniste « Haaretz » a déclaré que « Israël paie actuellement un lourd tribut pour sa guerre sur la Bande de Gaza en 2008″ au moment où le ministre turc des affaires étrangères Ahmet Davutoglu a confirmé que Tel-Aviv ne peut pas extorquer son pays.

Dans un rapport publié sur son site Web Haaretz a déclaré hier dimanche 11/9 que ce processus (la guerre sur Gaza) a attiré l’attention de la communauté internationale envers Israël et ses politiques brutale et donc les vagues de colère ont pris le temps pour être oubliées mais elles sont revenues plus grand.

Il a ajouté que la Turquie et l’Egypte sont les seuls pays acceptables dans la région et frappent maintenant leurs relations avec Israël la première par une décision ministérielle et l’autre par un peuple en révolte.

Il a noté que pendant l’offensive « Plomb Durci » les Israéliens n’ont pas vu les incidents de la guerre comme ils ont été aperçus par les peuples de ces deux pays.

Le journal a souligné à l’état de la haine contre Israël et le gouvernement actuel et précédent qui ont fait peu envers cela se basant sur les déclarations de l’éminent journaliste Robert Fisk qu’Israël réfléchie un peu et frappe beaucoup ».

Il a fait remarquer que la tension des relations avec la Turquie a été commencée après la récente guerre sur Gaza mais au sujet de l’Egypte l’attaque sur l’ambassade sioniste au Caire est venue après la martyre de 5 soldats égyptiens par les forces de l’occupation sionistes.

Il a appelé à la fin de son rapport à sanctionner l’ex-premier ministre sioniste Ehud Olmert et le ministre de la guerre Ehud Barak ainsi que l’ancienne ministre des affaires étrangères Tzibi Livni pour leur implication dans les crimes perpétrés.

Dans une conférence de presse commune avec son homologue brésilien Antonio Patriota: « Personne ne peut pas nous extorquer et nous souhaitons qu’Israël renonce cette décision ».

Il est à noter que Liebermann a annoncé le vendredi dernier un plan politique pour sanctionner le gouvernement turc par un soutien au PKK sur le niveau financier et armement en plus de l’aide à la communauté arménienne en Turquie et de soutenir ses exigences en fournissant des plaintes contre la Turquie aux Nations Unies.