Nazareth – CPI
Sharon Konio, l’épouse du combattant de la résistance israélienne dans la bande de Gaza, David Konio, a envoyé un message en arabe, à la résistance palestinienne dans la bande de Gaza, les appelant à divulguer un enregistrement vidéo montrant l’état de santé de son mari.
Sharon a déclaré dans son message : « Je m’appelle Sharon Konio et mon mari est David Konio à Gaza. Vous savez que l’Islam considère les prisonniers comme faisant partie des groupes faibles qui méritent compassion, gentillesse et soins, comme les pauvres et les orphelins, et ils doivent être traités avec humanité, en protégeant leurs droits et en préservant leur humanité, c’est pourquoi je demande une vidéo de David pour le voir. Merci ».
De leur côté, les Brigades Al-Qassam, l’aile militaire du Hamas, ont diffusé une vidéo intitulée « Bientôt… Le temps presse ».
Le clip vidéo, publié en trois langues : arabe, anglais et hébreu, montre une partie de l’appel de l’épouse du prisonnier « sioniste » David Konio, alors qu’elle adressait un message en arabe à Al-Qassam, pour publier une vidéo de son mari en captivité à Gaza, pour prendre de ses nouvelles.
Le désespoir grandit parmi les familles de prisonniers sionistes, alors que le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu continue de faire obstacle à la conclusion d’un accord pour le retour de leurs fils, au milieu de leurs manifestations incessantes exigeant un accord d’échange.
Ces derniers mois, les Brigades Al-Qassam et les Brigades Al-Qods ont publié des vidéos de prisonniers sionistes exigeant que leur gouvernement conclue un accord, pour les renvoyer chez eux, tenant Netanyahou responsable de leur sort.
Hier, vendredi, l’Autorité de radiodiffusion sioniste a cité des sources étrangères affirmant que les autorités d’Occupation « terroriste sioniste » avaient accepté de faire avancer les négociations sur la deuxième phase de l’accord d’échange de prisonniers avec les factions palestiniennes à Gaza, parallèlement à la mise en œuvre de la première phase, dans un contexte de la poursuite de la guerre de génocide dans la Bande de Gaza, à la lumière des négociations en cours à Doha.