Gaza- CPI
Le mouvement de résistance islamique « Hamas » a appelé la communauté internationale à enquêter sur « l’affaire des agressions sexuelles et d’autres violations commises contre les prisonniers palestiniens, dans les prisons d’Occupation nazie sioniste ».
Dans un communiqué reçu par « Quds Press », mardi, le mouvement a souligné que « la libération de soldats de l’armée d’Occupation terroriste sioniste, impliqués dans l’agression contre un détenu palestinien, constitue une tentative de dissimuler les crimes de l’Occupation ».
Des sites et plateformes de réseaux sociaux ont été en émoi après la diffusion d’une vidéo par la 12e chaîne hébreu, montrant une agression de soldats de l’Occupation fasciste sioniste contre un prisonnier palestinien dans le camp « Sde Teyman », dans le désert du Néguev, au sud de la Palestine occupée.
La chaîne a rapporté que « le prisonnier avait été soumis à des actes de torture et à des agressions sexuelles de la part des soldats qui ont tenté de dissimuler leurs visages, sachant qu’il y avait des caméras de surveillance ».
De son côté, l’ONU a appelé à « assurer la responsabilité concernant les enregistrements vidéo capturés par les caméras des agressions sexuelles contre un prisonnier palestinien par des soldats de l’Occupation terroriste sioniste dans le célèbre camp de (Sde Teyman) ».
Depuis le déclenchement de l’agression brutale sur Gaza, le 7 octobre 2023, des organisations de droits humains « hébreux », palestiniennes et internationales ont parlé de la détérioration des conditions dans les prisons d’Occupation sioniste, notamment à « Sde Teyman ».
Depuis le début de son opération terrestre à Gaza, le 27 octobre dernier, l’armée d’Occupation nazie sioniste a arrêté des milliers de civils palestiniens, y compris des femmes, des enfants et des travailleurs des équipes de santé et de protection civile, dont des dizaines ont été tués sous la torture dans les prisons sionistes.
Au cours des derniers mois, l’armée nazie sioniste a libéré des dizaines de prisonniers palestiniens de Gaza par vagues successives, la plupart d’entre eux ayant souffert d’une détérioration de leur état de santé, avec des signes de torture et de négligence médicale visibles sur leurs corps.
