Amman – CPI
Des milliers de Jordaniens en colère ont manifesté près de l’ambassade d’Occupation nazie sioniste à Amman, la capitale, pour dénoncer l’assassinat du chef du bureau politique du Hamas, Ismail Haniyeh, dans la capitale iranienne, Téhéran.
L’assassinat de Haniyeh a suscité des réactions de colère et de condamnation dans les cercles jordaniens à tous les niveaux officiels, populaires et tribaux. Les partis et forces politiques jordaniens ont condamné l’assassinat de Haniyeh et de l’un de ses compagnons en visant sa résidence dans la capitale iranienne, Téhéran.
Les participants au rassemblement convoqué par le Mouvement islamique et le Forum de soutien à la Résistance ont scandé des slogans en faveur du leader martyr et de la résistance, et ont exigé vengeance pour son sang et celui des martyrs.
Divers gouvernorats et camps palestiniens, sur tout le territoire jordanien, ont également été témoins d’événements publics massifs et de marches dénonçant le crime d’assassinat, brandissant des banderoles dénonçant son ciblage, et d’autres soutenant la résistance palestinienne et exigeant une réponse à son assassinat.
Les participants à la protestation ont condamné le silence arabe et islamique concernant le génocide contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza, qui a conduit l’Occupation terroriste nazie sioniste à poursuivre l’assassinat d’un haut dirigeant palestinien tel que le martyr Ismail Haniyeh.
Les participants ont affirmé leur soutien aux factions de la résistance armée palestinienne, dirigées par les Brigades martyres Izz al-Din al-Qassam.
Des photos et des clips vidéo diffusés par des militants sur les réseaux sociaux montraient les services de sécurité jordaniens réprimant les manifestants et arrêtant un certain nombre d’entre eux.
Depuis le 7 octobre 2023, l’Occupation terroriste sioniste mène une guerre de génocide dans la bande de Gaza, qui a fait plus de 39 400 martyrs, blessé plus de 91 000 autres personnes, pour la plupart des enfants et des femmes, et entraîné le déplacement d’environ 1 900 000 de personnes. personnes et plus de 10 000 personnes disparues, au milieu d’une destruction massive des infrastructures sanitaires et éducatives et d’une famine qui a coûté la vie à des dizaines d’enfants, selon les données des Nations Unies.
