Gaza – CPI
Aujourd’hui, samedi, l’armée d’Occupation nazie sioniste a étendu son agression militaire dans les villes de Rafah et Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, alors que son opération militaire entame sa 6e journée consécutive.
L’armée d’Occupation terroriste sioniste a largué des milliers de tracts appelant les citoyens des zones nord de Rafah et du sud de Khan Younès à évacuer de force.
Des sources locales ont expliqué que l’armée d’Occupation fasciste sioniste a émis de nouveaux ordres de déplacement visant les résidents et les personnes déplacées dans les régions de Qizan Abou Rashwan, Qizan al-Najjar, Jourat al-Lot et le quartier d’Al-Manara au sud de Khan Younès, ainsi que d’autres quartiers et places du nord de Rafah.
Dans le cadre des massacres en cours à Khan Younès pour le 6e jour consécutif, les sources ont indiqué que l’armée d’Occupation terroriste sioniste a demandé aux habitants des zones menacées et aux déplacés de se rendre dans la zone d’Al-Mawasi, ce qui continue de réduire ce qu’elle prétend être une « zone humanitaire ».
L’Occupation terroriste nazie sioniste avait déjà commis des dizaines de massacres dans des zones qui ont appelé les citoyens à fuir vers le centre et le sud de la bande de Gaza.
Le 13 juillet, l’Occupation nazie sioniste a commis un horrible massacre lorsque ses avions de combat ont attaqué six quartiers de la région d’Al-Mawasi, à l’ouest de la ville de Khan Younès, entraînant la mort de 92 citoyens, pour la plupart des femmes et des enfants, et de 300 autres ont été blessés.
La zone ciblée, près des rives de la mer Méditerranée, s’est transformée en une terre dévastée et calcinée, en raison des coupures d’eau et d’électricité et du manque de traitement des eaux usées.
Depuis le 7 octobre 2023, l’Occupation néonazie sioniste mène une guerre de génocide contre Gaza, qui a fait plus de 39 000 martyrs, plus de 90 000 blessés, pour la plupart des enfants et des femmes et 10 000 personnes disparues, sur fond de destruction massive de la bande de Gaza, des infrastructures sanitaires et éducatives et une famine qui a coûté la vie à des dizaines d’enfants, selon les données des Nations Unies.
