Nazareth – CPI
Les médias hébreux ont révélé aujourd’hui mercredi que le Premier ministre d’Occupation nazie sioniste, Benjamin Netanyahu envisageait de former un nouveau mini-gouvernement de sécurité, un « cabinet », pour gérer la guerre génocidaire contre Gaza.
La chaîne hébreu« Kan 11 » a rapporté que le nouveau conseil de guerre se tiendra avec la participation du ministre d’extrême droite Itamar Ben Gvir, dans le but de permettre l’approbation de la « Loi sur les services religieux », pour le parti ultra-orthodoxe Shas, au parlement d’Occupation sioniste, la Knesset.
La soi-disant « loi sur les services religieux », qui permettrait de régler les salaires des prestataires de services religieux et est connue sous le nom de « deuxième loi rabbinique », a été supprimée de l’ordre du jour de la Knesset (Parlement) il y a deux semaines, en fournissant une majorité pour voter en faveur de son adoption.
Ben Gvir avait annoncé à l’époque qu’il « ne soutiendrait pas la loi car elle n’était pas incluse dans le mini-gouvernement ».
La chaîne hébreu a déclaré : « Depuis mardi soir, des négociations mouvementées ont lieu entre les parties, alors que Netanyahu est en visite aux États-Unis. »
Benny Gantz, membre de la Knesset, a commenté ces enfants en disant : « Mener des négociations pour la sécurité de cette coalition est la preuve que la politique a pénétré le saint des saints de la sécurité de l’État. »
Il a ajouté : « Chaque citoyen sioniste devrait aujourd’hui se sentir davantage préoccupé par la sécurité de l’Occupation nazie(Israël) et être dérangé par l’administration Netanyahu », selon ce que a rapporté la chaîne susmentionnée.
Gantz a poursuivi en s’adressant à Netanyahu en disant : « Vous connaissez Ben Gvir mieux que quiconque. Ne nuisez pas à la sécurité du pays. »
Depuis le 7 octobre 2023, l’Occupation néonazie sioniste mène une guerre de génocide barbare contre Gaza, qui a jusqu’à présent fait plus de 39 000 martyrs, blessé plus de 90 000 autres personnes, pour la plupart des enfants et des femmes, et entraîné le déplacement d’environ 1 900 000 de personnes et plus de 10 000 disparus, dans un contexte de dévastation énorme dans les infrastructures sanitaires, éducatives et économiques et d’une famine qui a coûté la vie à des dizaines d’enfants, selon les données des Nations Unies.
