New-York-CPI
Human Rights Watch (HRW) a confirmé aujourd’hui que l’utilisation par les forces armées de l’Occupation nazie sioniste de méthodes dégradantes et inhumaines envers les prisonniers palestiniens constitue un « crime de guerre ».
L’organisation a indiqué dans un communiqué publié ce mardi qu’elle avait analysé environ 37 publications montrant des Palestiniens détenus, dont la plupart sont des hommes et des enfants de Cisjordanie et de Gaza, dépouillés de leurs vêtements, parfois complètement nus, les mains menottées, les yeux bandés et blessés.
L’ONG internationale a assuré que ces traitements constituent une forme de violence sexuelle et de crimes de guerre.
HRW a souligné que certaines publications incluaient des commentaires humiliants et dégradants écrits par des soldats ou des journalistes sionistes, et a noté que des plateformes comme TikTok et YouTube avaient supprimé certaines de ces publications.
L’Organisation onusienne a attribué aux hauts responsables et les dirigeants militaires de l’armée d’Occupation terroriste sioniste la responsabilité pénale pour avoir ordonné, permis ou omis de prévenir ou de punir ces crimes, en utilisant des moyens incluant la Cour pénale internationale (CPI).
Des rapports multiples ont mentionné de graves violations à l’intérieur du camp de détention de « Sde Teiman » contre les prisonniers palestiniens détenus et torturés dans le camp pendant la guerre continue de génocide contre Gaza.
Parmi les quatre mille détenus emprisonnés à « Sde Teiman » depuis octobre, 35 sont décédés sur place ou après avoir été transférés dans des hôpitaux civils proches, selon des témoignages d’officiers de l’armée de l’entité usurpatrice nazie sioniste au journal « New York Times ».
Depuis le 7 octobre 2023, l’Occupation nazie sioniste mène une guerre génocidaire génocidaire barbare contre la bande de Gaza, causant la mort de plus de 39 000 personnes et la blessure de plus de 90 000 autres, majoritairement des enfants et des femmes.
Cette guerre brutale a également forcé près de 1 900 000 de personnes à fuir, avec plus de 10 000 autres portés disparus, et a entraîné d’immenses destructions dans les infrastructures sanitaires, éducatives, ainsi qu’une famine qui a coûté la vie à des dizaines d’enfants, selon les données des Nations Unies.
