Gaza – Centre d’information palestinien
Le Mouvement de la Résistance Islamique (Hamas) a apprécié les déclarations du président turc Recep Tayyip Erdogan, dans lesquelles il a renouvelé ses positions en poursuivant sa défense du peuple palestinien et de sa lutte légitime pour la libération de sa terre et de son indépendance, ainsi que de la nécessité d’agir immédiatement pour établir un cessez-le-feu à Gaza.
Le Hamas a exprimé sa profonde gratitude et sa fierté pour son soutien courageux au mouvement et à son projet de résistance en Palestine. Lorsqu’il a comparé le rôle des forces nationales turques pendant la guerre d’indépendance au rôle du mouvement Hamas dans sa lutte actuelle, pour la défense du peuple palestinien, de sa terre et de son caractère sacré. Elle a souligné que ces déclarations courageuses et ces positions honorables du président Erdogan incarnent la position historique et authentique du peuple turc frère, et que notre peuple le préservera dans sa lutte, une voix audacieuse aux côtés de notre peuple dans la bande de Gaza et en soutenant le droit de notre peuple à libérer sa terre, à y retourner et à établir son État indépendant avec Jérusalem pour capitale.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a souligné qu’il continuerait à défendre la lutte de la Palestine et à être « la voix de son peuple opprimé ». Erdogan a déclaré aujourd’hui mercredi, dans un discours prononcé lors de la réunion du bloc parlementaire de son parti Justice et Développement : « Je continuerai à défendre la lutte palestinienne et à être la voix du peuple palestinien opprimé aussi longtemps que Dieu m’aura donné la vie même si je suis laissé seul », soulignant que personne ne peut remettre en question ses positions sensibles envers la Palestine. Il a poursuivi : « Nos vies ont pris un sens avec la question palestinienne », notant qu’« il n’y a aucune différence entre les forces nationales turques pendant la guerre d’indépendance et le mouvement Hamas aujourd’hui », soulignant qu’« il en réalise le prix à payer». Il a ajouté : « Nous ne serons peut-être pas en mesure d’expliquer une partie de ce que nous avons fait, mais ceux qui doutent de notre sensibilité envers la Palestine ressentiront tôt ou tard de la honte et verront l’étendue de l’injustice qu’ils ont commise (contre nous). »
