Le Mouvement de résistance islamique « Hamas » et le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) ont souligné la nécessité de mobiliser toutes les énergies pour affronter l’occupation et les colons protéger les droits et les constantes avec ce qu’il faut pour quitter Oslo et miser sur l’illusion du compromis de paix et des négociations qui sont inutiles et n’ont aucune perspective au vu de l’agression sioniste continue et du soutien américain illimité.
Dans un communiqué commun à l’issue de la réunion des dirigeants des deux mouvements à Gaza les deux mouvements ont affirmé la poursuite et le renforcement du travail bilatéral à tous les niveaux pour permettre de servir notre peuple de défendre ses droits et de répondre à ses besoins .
Les deux mouvements ont salué « l’attaque de Jérusalem commise par le héros martyr Ibn al-Quds Fadi Abu Shkhaydam qui a une fois de plus prouvé que l’épée de Jérusalem est toujours d’actualité et que Jérusalem était et restera le centre du conflit que notre peuple ne se reposera pas tant qu’il n’aura pas recouvré tous ses droits peu importe le temps que cela prendra ».
En condamnant la décision britannique de désigner le Hamas comme une organisation terroriste et la qualifiant d’injuste et hostile le Hamas et le FPLP ont insisté sur l’unité nationale le partenariat de leadership appelant au rejet de toute normalisation avec l’ennemi occupant israélien qui continue à violer solennellement les lois règles et conventions internationales et humanitaires en intensifiant ses violations et crimes contre le peuple palestinien.
Les deux mouvements ont salué la lutte acharnée des prisonniers face aux geôliers criminels d’occupation affirmant qu’ils sont préoccupés par leur libération et la nécessité d’aboutir à un échange honorable à cet égard.
Ils ont appelé à la poursuite des travaux par tous les moyens pour briser davantage le siège de la bande de Gaza mettant en garde l’occupation contre la poursuite de sa politique criminelle contre la bande. Ils ont déclaré : « Nous ne resterons pas les bras croisés face à la procrastination pratiquée par l’occupation. »
