Le Membre du Bureau politique du Mouvement de résistance islamique « Hamas » Muhammad Nazzal a souligné que « toutes les options de la résistance palestinienne sont ouvertes nous ne pouvons permettre à l’occupation israélienne d’entraver la reconstruction de Gaza ni de poursuivre son siège de la bande. »
Nazzal a souligné dans une interview avec Quds Press que la dernière bataille de « L’épée de Jérusalem » représentait une « preuve » pour la libération ajoutant : « Nous sommes confrontés à un processus d’accumulation de résultats et de points lorsque l’opportunité sera favorable et préparée nous irons résoudre le conflit avec l’occupation israélienne. »
Nazzal a déclaré qu’après la bataille de « l’Épée de Jérusalem » « qui a secouée l’occupation et brisé son image nous avons accepté l’accord de cessez-le-feu sur la base que l’occupation ne recommencerait pas ses violations dans la ville de Jérusalem que ce soit en y poursuivant la politique de judaïsation à travers l’expulsion de ses habitants de différentes manières le quartier de Sheikh Jarrah par exemple et la violation du caractère sacré de la mosquée Al-Aqsa comme les colons essaient toujours de faire sous le couvert des autorités d’occupation.
Cependant le chef du Hamas a ajouté : « Nous sommes conscients que la trahison et le non-respect des accords sont une caractéristique de l’occupation. Par conséquent nous avons lancé le slogan : « Si vous revenez nous reviendrons et si vous continuez nous continuerons ». »
En réponse à l’appel du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à reprendre le dialogue national palestinien pour mettre fin à la division Nazzal a déclaré : « La condition pour la tenue de nouveaux dialogues palestiniens est qu’ils conduisent à un véritable partenariat palestinien basé sur les urnes comme une option civilisée juste et pratique. »
Commentant le report du procès des détenus palestiniens en Arabie saoudite le chef du Hamas a précisé que « la justice saoudienne est politisée et le retard dans le prononcé du verdict est injustifié. Il s’agit d’une nouvelle procrastination indiquant que la justice attend des directives des autorités politiques supérieures pour prononcer des condamnations ».
