Après les prières du vendredi de violents affrontements ont éclaté entre les jeunes Palestiniens et l’armée d’occupation israélienne à Hébron et à Qalqilya.
Des sources ont déclaré que la ville de Surif au nord-ouest d’Hébron avait été le théâtre de violents affrontements au cours desquels le journaliste Moaz Amara avait été blessé d’une balle dans les yeux.
Le Croissant-Rouge palestinien a révélé qu’ il a transféré le journaliste à l’hôpital Al-Ahli pour le soigner.
Il a expliqué qu’il a traité le journaliste Amarna en plus d’un autre jeune homme qui avait été touché à la jambe par des balles réelles lors des affrontements.
Les affrontements ont éclaté en signe de protestation contre la confiscation des terres des habitants de la ville de Surif en faveur des colonies où des soldats occupants israéliens ont attaqué les Palestiniens avec des bombes assourdissantes des gaz lacrymogènes et tiré des balles en caoutchouc.
Dans le même contexte des affrontements ont éclaté dans le village de Kafr Qaddum à l’est de Qalqilya entre des participants à la marche hebdomadaire et des soldats de l’occupation causant de nombreux blessés .
Les soldats ont utilisé des gaz lacrymogènes des balles en caoutchouc et en métal ainsi que le quartier pour réprimer les participants et ont demandé l’ouverture de l’entrée fermée depuis 2003.
Le coordonnateur de la marche hebdomadaire Murad Shteiwi a déclaré que la marche avait commencé malgré la mobilisation de soldats israéliens et des embuscades pour arrêter les participants où des dizaines de participants ont été asphyxiés.
Un certain nombre de citoyens ont également été asphyxiés par les gaz lacrymogènes lorsqu’ils ont affronté vendredi l’armée israélienne au nord de Bethléem pour condamner l’agression perpétrée à Gaza.
Selon des sources locales des soldats israéliens ont tiré des gaz lacrymogènes sur des civils palestiniens se trouvant à proximité de la mosquée Bilal Ben Rayah blessant un certain nombre d’entre eux.
