Un comité national permanent a été mis en place dimanche pour sauver la vie des prisonniers malades dans les prisons de l’occupation israélienne à l’initiative du Centre de défense des libertés et des droits civils.
Le Centre a déclaré dans un communiqué de presse que les institutions de défense des droits de l’homme et médicales ainsi que les autorités civiles et officielles se sont réunies hier pour discuter de la souffrance persistante des prisonniers dans les prisons de l’occupation israélienne en raison de la politique de négligence médicale poursuivie par l’administration pénitentiaire.
Les participants ont examiné le rôle que les institutions médicales et de défense des droits de l’homme palestiniennes devraient jouer pour réduire ces souffrances et organiser une campagne dans les médias pour informer l’opinion publique internationale l’Organisation mondiale de la Santé et les institutions internationales des droits de l’homme sur la réalité de la violation brutale de leur droit à un traitement et à des soins de santé.
Ils ont appelé le comité formé à faire pression sur le gouvernement israélien pour qu’il permette aux comités internationaux de visiter les prisons constater de près la souffrance des prisonniers malades leurs conditions de détention et la menace qui pèse sur leur vie ainsi que l’ampleur des conditions médicales qui ne cessent de se dégrader en raison de l’oppression de la pression et de la négligence médicale.
Le comité est composé des suivants:
1- Le ministère des prisonniers et des détenus libérés.
2- Le ministère palestinien de la santé.
3- Le Club des prisonniers palestiniens.
4- Le réseau des ONG.
5- L’Association Al-Dameer pour les soins aux prisonniers et les droits de l’homme.
6- Les comités de santé.
7- Le comité supérieur des prisonniers et des détenus libérés.
8- Les forces nationales et islamiques.
9- Le Centre Abu Jihad pour le mouvement des prisonniers.
10- La chaine de télévision « Palestine TV ».
11- Le réseau « Watan Media Network »
12- Le Centre pour la défense des libertés et des droits civils « Horiyat ».
