Le Centre d’information de Wadi Hilweh / Silwan: « Les habitants de la ville de Silwan au sud de la mosquée Al-Aqsa risquent de perdre leur vie au profir d’imposition de nombreux projets coloniaux notamment après que l’occupation a célébré hier l’ouverture de tunnels sous les quartiers résidentiels.
Le Centre d’information Wadi Hilweh a déclaré lundi dans un communiqué que les autorités d’occupation israéliennes continuaient à creuser dans un réseau complexe de tunnels dans le quartier de Wadi Hilweh partant de la région d’Al Ain et passant par le quartier de Wadi Hilweh jusqu’au « projet de colonisation de Kedem ». Daoud « sur la place d’Al-Buraq » la clôture ouest de la mosquée al-Aqsa « .
Il a ajouté que les excavations de tunnels » se poursuivaient dans le quartier de Wadi Hilweh il y a 13 ans provoquant des glissements de terrain et des fissures dans plusieurs quartiers du quartier notamment « la rue principale et le quartier de la mosquée et de la crèche » ainsi que plus de 80 maisons endommagées et plus de 5 maisons classées comme « dangereuses » par la municipalité israélienne après que ses fondations ont été endommagées.
Le Centre a souligné que les graves glissements de terrain survenus en mars dernier en particulier sur les terrains des districts de Wadi Hilweh et Soura et dans une zone appartenant à « l’Église orthodoxe » sont localisés sur le chemin du tunnel ouvert.
Il a expliqué que les travaux d’excavation sous Wadi Hilweh ne s’arrêtent pas avec des outils lourds et autres outils légers. Ils prennent le sable du fond de la terre ensuite le transportent par des camions spéciaux.
Le Centre a souligné que les autorités d’occupation israéliennes avaient empêché les Palestiniens de pénétrer dans certains des tunnels situés au-dessous du quartier. Le comité de résidents avait demandé à leurs avocats de pénétrer dans les tunnels pour observer les faits qui menaçaient tout le quartier. Cette demande a toutefois été refusée. Les autorités d’occupation ne permettent l’accès qu’à certaines parties des tunnels. .
