« Nous devons défendre notre droit au retour. Inévitablement cette situation pourrait durer cent ou deux cents ans mais cela ne durera pas pour toujours. C’est notre terre où nous sommes restés pendant des siècles » par ces mots le Président de l’Assemblée populaire des Palestiniens à l’étranger Anis Fawzi Qassem a résumé le droit au retour.
Il a rencontré le correspondant du CPI à Amman qui l’a trouvé jeune les années d’expulsion n’ont pas pu l’affaiblir. Il a été expulsé de Qalqilia en 1965 et est devenu un expert en droit international.
Anis Qassem a confirmé plus d’une fois la nécessité de construire une auto-puissance en disant: « Nous avons des outils importants si nous avons une direction consciente ».
Il a décrit la situation des dirigeants palestiniens comme les dirigeants du régime arabe en disant: « Ils espèrent toujours l’aide de l’Occident ».
Il a démontré que l’affaire ne sera modifiée que par la construction d’une nouvelle direction palestinienne et d’une nouvelle stratégie.
Anis Qassem a ajouté : « Il est vrai que nous avons construit une révolution et un mouvement de libération nationale qui a occupé les oreilles et l’attention du monde mais nous l’avons tué après avoir laissé le travail armé les centres de recherche et le potentiel du peuple palestinien et parié sur l’Occident.
