Le porte-parole des médias pour le Centre des prisonniers de Palestine Riyad Al-Ashqar a déclaré que l’occupation sioniste a détenu plus de 900 000 Palestiniens dans ses prisons depuis l’occupation de la Palestine en 1948.
Dans une déclaration dont notre CPI a reçu une copie mardi soir al-Ashqar a déclaré que la politique d’arrestations qui a touché des centaines de milliers de notre peuple depuis l’occupation des territoires palestiniens en 1948 a explicitement échoué à soumettre le peuple palestinien.
Il a fait remarquer que malgré le grand nombre qui ont goûté l’amertume de la captivité la détention et a atteint plus de 900 000 Palestiniens le peuple palestinien résiste encore en exigeant les droits de ses terres et ses lieux saints.
Il a également noté que depuis la première Intifada en Décembre 1987 les autorités occupantes ont arrêté plus de 310 000 palestiniens de divers âges y compris des femmes et des enfants des personnes âgées et les membres du Conseil législatif des universitaires des médecins et des étudiants.
En outre il a expliqué que les 210 000 Palestiniens ont été arrêtés depuis le début de l’Intifada jusqu’à l’avènement de l’Autorité palestinienne en 1994 et 10 000 ont été arrêtés depuis 1994 et jusqu’à l’éclatement de l’Intifada d’Al-Aqsa en 2000. 98 000 était incarcérés durant les années de l’Intifada Al-Aqsa et jusqu’à début octobre avec le déclenchement de la dernière Intifada de Jérusalem qui a vu encore 8 500 arrestations.
Le porte-parole pour le Centre des prisonniers de la Palestine a mis en garde contre la continuité de l’emprisonnement des 29 anciens détenus incarcérés depuis la première Intifada que l’occupation a refusé de libérer après l’accord ‘Oslo.
Ashkar a souligné que le mouvement des prisonniers a fait pendant la première Intifada 43 martyrs dont 23 martyrs sont morts à la suite de la torture 11 prisonniers sont morts à la suite de la négligence médicale délibérée et deux martyrs après avoir été abattus à bout portant. Sept prisonniers ont été délibérément assassinés de sang froid après leur arrestation.
