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La Chambre des lords britannique discute de la reconnaissance de la Palestine

samedi 31-janvier-2015

La Chambre des Lords britanniques a discuté la cause palestinienne et le dossier de la reconnaissance de l’Etat de Palestine au milieu de divergence de vues entre les membres du Conseil qui est la première chambre du Parlement britannique.

Le président de la réunion Lors Steel du parti libéral-démocrate a confirmé la nécessité de Tel-Aviv négocie le Hamas.

Il a souligné qu’il ne peut pas accepter qu’Israël vit sous la menace constante de roquettes mais les attaques d’Israël sur Gaza en 2009 et 2014 ne sont pas une véritable réaction.

De son côté le Lord Cobeh a exprimé sa croyance qu’il est temps que le Royaume-Uni reconnait l’Etat palestinien soulignant au contrôle d’Israël sur les territoires palestiniens par la force tandis que sa collègue Maral Ageh (d’origine turque) a appelé le gouvernement britannique à reconnaitre l’Etat palestinien.

Un certain nombre de Lords ont considéré que la reconnaissance de la Palestine sans parvenir à la paix au Moyen-Orient ne serait pas juste où le Lord Panik a déclaré que la Grande-Bretagne a une véritable justification pour ne pas reconnaitre la Palestine démontrant que telle mesure à ce temps va compliquer de parvenir à un accord de paix.

Saed Warsi (d’origine pakistanaise) qui a démissionné de son poste comme ministre pour les communautés et les croyances la nuit dernière dans le cadre de ses protestation contre la politique du gouvernement britannique envers Gaza a déclaré que les Palestiniens qui ont vu la possibilité de parvenir à une solution de deux Etats ont été forcés à la guerre en raison de l’impuissance parce qu’ils veulent être présents. Elle a confirmé qu’il n’est pas difficile de comprendre la situation vécue par les Palestiniens.

La Chambre des communes britanniques (la deuxième chambre du parlement) a accepté un mémorandum pour la reconnaissance de la Palestine en Octobre 2014 tandis que 274 de ses membres ont voté en faveur de la résolution non contraignante où la reconnaissance est des pouvoirs du gouvernement et non pas le parlement.

De son côté le gouvernement palestinien confirmé qu’il ne peut pas reconnaitre l’Etat palestinien mais cela doit être dans le cadre des négociations qui conduiront à une solution du conflit Palestino-israélien sur la base du principe de deux Etats.

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