Un rapport publié dimanche par le groupe a déclaré que le camp de Yarmouk a vu de violents affrontements à l’axe de l’entrée du camp et la rue de Palestine.
Le directeur de l’hôpital de Palestine Jamal Hammad a lancé un appel à tout le monde à intervenir pour transporter les cas de blessés critiques pour être soignés à l’extérieur du camp en raison du manque de médicaments et de matériaux médicaux.
De plus de violents affrontements ont éclaté aux côtés du camp de Daraa pour les réfugiés palestiniens entre les groupes de l’armée libre et l’armée régulière qui ont utilisé les armes moyennes.
Dans le même contexte plusieurs obus de mortiers ont atterri dans les environs du camp de Danoun ce qui a causé la peur au sein des habitants du camp.
Les correspondants du groupe d’action pour les réfugiés palestiniens ont déclaré que le camp de Yarmouk souffre du blocus continu depuis plus de 284 jours consécutifs ce qui a causé la détérioration des conditions de vie tandis que les autres camp souffrent de l’aggravation des crises de la coupure de l’électricité et l’épuisement du carburant et des matières alimentaires.
En Egypte le rapport a souligné la souffrance continue de 144 réfugiés palestiniens dont 40 femmes 35 enfants qui ont fui la Syrie dont 4 captifs dans la section de la police de Rashid dans la province de Bahira après avoir été arrêtés par les autorités égyptiennes en raison de l’immigration illégale.
Selon le témoignage de l’un des réfugiés kidnappés tous les réfugiés palestiniens et syriens arrêtés possèdent des visas actifs à l’intérieur de l’Egypte et des cartes de refuge du commissariat officiel des affaires des réfugiés.
Il est à noter que l’Egypte a déjà arrêté plusieurs réfugiés palestiniens pour plusieurs mois avant d’avoir été expulsés en Syrie.
