Hier les marches hebdomadaires en Cisjordanie ont continué malgré la répression des forces d’occupation sionistes.
Dans le village de Ma’sara au sud de Bethléem les forces israéliennes ont réprimé les participants d’une marche hebdomadaire qui a blessé certains citoyens et entrainé la suffocation d’autres à cause de l’inhalation du gaz lacrymogène.
Le militant Mahmoud Zawahra a mis l’accent sur l’activation du rôle de la résistance populaire dans tous les sites et travailler à élaborer un plan stratégique comprenant les éléments de la résistance et la lutte contre l’occupation.
Dans la marche de Nabi Saleh des dizaines de personnes ont souffert de suffocation à cause des gaz lacrymogènes et des témoins ont déclaré que les soldats israéliens ont tiré des grenades lacrymogènes de manière intensive vers les participants de la marche ce qui a conduit à plusieurs victimes de suffocation.
La marche a commencé à partir du centre du village et s’est dirigée vers les terres menacées de confiscation par l’occupation avec la participation de militants étrangers scandant des slogans condamnant la politique continue de la colonisation et la confiscation des terres.
Deux citoyens ont été blessés et des dizaines ont été victimes d’asphyxie à cause de la répression des forces d’occupation de la marche de Bilin selon des témoins où les soldats israéliens ont tiré des balles en métal recouvertes de caoutchouc et des gaz lacrymogènes ainsi que des bombes assourdissantes et des balles de type ‘ Toto’ vers les participants à leur arrivée dans les territoires libérés près du mur qui a conduit à la blessure de Nemer Atta (19 ans) au pied Wael Barnat (35 ans) à la main et des dizaines d’autres citoyens et militants internationaux de suffocation sévère.
Dans le village de Kafr Kadoum des dizaines de citoyens ont été victimes de suffocation y compris un enfant et un photographe de presse qui a reçu une grenade lacrymogène dans le dos lors de la répression de l’occupation de la manifestation hebdomadaire dans le village.
Selon des témoins oculaires le photographe de l’agence ‘ France Presse ‘ Jafar Shtayeh a été blessé directement par une grenade lacrymogène dans le dos et a été évacué à l’hôpital Rafidia de Naplouse tandis que des dizaines de citoyens ont souffert de suffocation dont le bébé Bisan Murad Shteiwi en raison du lancement des forces d’occupation de grenades lacrymogènes vers les maisons et en direction des participants à la marche.