L’UNRWA et 50 organisations mondiales des droits de l’homme ont appelé les participants dans la Conférence « Genève2 » sur la Syrie à briser le blocus imposé sure le camp de Yarmouk pour les réfugiés palestiniens au sud de la capitale syrienne Damas.
Un communiqué commun publié par ces organisations a déclaré le samedi 18/1 que le silence est devenu inacceptables lorsque les enfants meurent de la famine et les femmes meurent aussi lors de l’accouchement en raison du manque du soin médical dans le camp de Yarmouk qui a été impliqué dans la guerre continue en Syrie et la souffrance des civils encerclés dans le camp est devenue au dessus de la perception.
Les organisations ont ajouté dans leur communiqué que le camp de Yarmouk qui contient 160 000 réfugiés palestiniens dont la majorité a été démolie et les réfugiés l’ont quitté sauf les personnes assiégées dont leur plupart sont des femmes et des enfants.
Le communiqué a souligné que des rapports parlent que les habitants de camp commencent à manger les aliments pour animaux après l’épuisement de tous les éléments de la nutrition et l’incapacité des convois de secours d’atteindre le camp et aider les sinistrés au moment où le camp vit un manque grave dans les services médicaux notamment l’électricité et l’eau.
