Une organisation pourles droits de l’homme dans les territories occupés en 1948 a accusé les services de renseignements sionistes internes le Shin Bet d’utiliser les enfants des familles des prisonniers palestiniens en les interrogeant afin d’exercer une pression psychologique sur les prisonniers.
Dans un rapport publié à l’occasion de la Journée Internationale de Solidarité avec les victimes de l’injustice la torture et la persécution le Comité public contre l’injustice a déclaré : « A travers cinquante-quatre plaintes portées contre les inspecteurs du Shin Bet de 2009 à 2011 seulement sept familles palestiniennes se sont entretenues avec les enquêteurs du Shin Bet qui leur ont expliqué que le sort de leurs fils prisonniers dépend de leur coopération avec les interrogateurs ».
Le rapport a révélé que 21 prisonniers ont été soumis lors de leur garde à vue à des menaces de nuire à leurs familles s’ils ne reconnaissaient pas ce qui leur était reproché.
Le rapport a également expliqué que l’un des citoyens palestiniens de la ville de Qabatiya en Cisjordanie et qui a été arrêté en 2010 a confirmé qu’il a été menacé lors de l’enquête que son frère serait arrêté. Ce dernier a été détenu pendant 20 jours et l’interrogateur l’a également menacé d’arrêter sa mère.
