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Djihad:l’occupant décide d’exécuter les 2 prisonniers Diab et Hlahleh grévistes depuis 71 jours

lundi 7-mai-2012

Le Mouvement du Jihad islamique en Palestine a considéré que le rejet de la cour suprême de l’appel d’interjection présenté par l’avocat des deux prisonniers Bilal Diab et Thaer Hlahleh contre leur détention administrative arbitraire et qui poursuivent la grève de la faim  illimitée pour la 71 journée consécutive comme une décision d’exécution des deux prisonniers après l’échec des tentatives de l’occupant pour briser leur grève et arrêter leur combat héroïque continu pour le troisième mois consécutif.

« Le non engagement au profit de la question légitime des prisonniers grévistes en particulier pour sauver les deux prisonniers Bilal Diab et Thaer Hlahleh en grève de la faim depuis 71 jours et l’ignorance de leur cause légale sont un crime éthique et humanitaire » a rapporté le Djihad lors d’un communiqué publié à cet égard tout en tenant le gouvernement de l’occupation israélien responsable de la vie et sécurité des prisonniers grévistes.
 
Pour sa part l’avocat Jamil Khatib a déclaré au reporter de notre CPI que la Cour suprême de l’occupant qui est «la plus haute instance judiciaire dans l’entité occupante (Israël) a rejeté un appel d’interjection présenté par les deux prisonniers  Thaer Diab Bilal Hlahleh. Il a expliqué que la Cour lui a remis la décision de rejet après-midi dans lequel a prétendu qu’elle l’a rejeté en s’appuyant sur les rapports des forces de sécurité que les deux détenus sont des terroristes militants aux activités du mouvement Djihad et représentent une menace à la sécurité générale selon les allégations de l’occupation.

L’avocat des deux prisonniers a exhorté les organisations les institutions et les forums et côtés qui s’occupent des droits de l’homme particulièrement ceux des prisonniers grévistes à intervenir d’une manière urgente et efficace et assumer leur responsabilité afin de sauver la vie des prisonniers grévistes qui souffrent en détention arbitraire de l’isolement et mettre la pression sur l’ennemi occupant pour que leurs justes revendications soient réalisées dont l’annulation de la loi de Shalit de finir l’isolement et autoriser les visites.

 

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