Trois organismes palestiniens ont appelé les citoyens palestiniens dans la ville occupée d’el Khalil (Hébron) et la Cisjordanie occupée à participer dans le sit-in hebdomadaire de solidarité qui sera organisé demain jeudi après-midi 23/2 devant le tournant d’Ibn Rochd dans la ville d’el Khalil dans le sud de la Cisjordanie occupée sous le slogan: « Nos droits seront repris et non pas un don ».
« Le Comité des familles des détenus politiques » « La Ligue de la jeunesse musulmane » et « Le syndicat des enseignants licenciés » ont appelé dans un communiqué commun les habitants de la province les familles des détenus politiques et les fonctionnaires licenciés en raison de leur appartenance politique ainsi que les membres du conseil législatif palestinien et les membres du Comité des Libertés et les étudiants et les militants à participer dans ce Sit-in.
Le communiqué a confirmé que ce 31ème sit-in hebdomadaire a pour objectif de réclamer la libération des détenus politiques se solidariser avec les employés licenciés en raison de leur appartenance politique et avec les détenus administratifs dans les prisons sionistes en particulier le prisonnier gréviste Khader Adnan.
» La société palestinienne n’a pas encore touché aucun effet positif sur le terrain du comité de libertés deux mois après sa formation » a rapporté le communiqué.
Il a ainsi souligné: « Le Comité est totalement absent des activités de protestation liant à la réconciliation dans la ville d’el Khalil et Naplouse » s’interrogeant: « N’est-il pas encore temps approprié pour révéler la cause principale de l’entrave de la mise en œuvre de leurs recommandations en Cisjordanie?
Les organisateurs du Sit-in ont dit que « La situation en Cisjordanie ne sert que l’entité sioniste indiquant que la guerre menée contre le citoyen palestinien ne sert pas l’unité du peuple palestinien sous une seule autorité et à la lumière de la grève héroïque du prisonnier Khader Adnan nous s’interrogeons: N’est-il pas honteux que l’autorité tende la main à son bourrau et échange les rôles avec lui ».
Le communiqué a poursuivi que « La coordination de sécurité la politique d’échange des rôles et la détention administrative dans les prisons sionistes et la détention politique chez l’autorité viennent de la même politique et découlent dans le même sort tout en exigeant la cessation de ces pratiques et le travail sérieux afin de reprendre les droits aux opprimés ».
