Le rapport annul de pauvreté publié par le soi-disant « Association nationale d’assurance » en entité sioniste a révélé que la situation sociale des citoyens palestiniens dans la ville de Jérusalem-Est s’est aggravée au cours de la dernière année.
La radio de l’armée sioniste a déclaré que la situation de la ville occupée d’el-Qods (Jérusalem-est) est la pire en termes de taux de pauvreté par rapport aux régions résidentielles des Sionistes notant qu’el-Qods est soumise à l’occupation qui doit porter la responsabilité administrative et de sécurité de cette région.
Les enfants sont les plus pauvres
Selon le rapport le sujet qui soulève plus de préoccupation est l’image de la situation détériorée dans la catégorie des enfants. Selon les données relatives à l’année dernière 2010 48% des enfants de Jérusalem-Est sont classés comme pauvres
Il a souligné que le taux des palestiniens pauvres dans la ville occupée d’el-Qods a augmenté au cours des 5 dernières années de 28% du total des pauvres en entité sioniste à 31% et de 18% à 21% des familles pauvres qui comprenaient 4 enfants ou plus parmi la totalité des pauvres.
De son côté le directeur du centre d’el-Qods pour les droits sociaux et économiques a confirmé ces chiffres lesquels selon lui ont été publiés par une institution officielle montrant de nombreuses témoignages sur ces données en disant que les banques et les bureaux de poste à el-Qods étaient bondés juste avant la fin du mois de citoyens qui souhaitent obtenir le privilège d’assurance national en particulier les personnes âgées et les enfants ajoutant que la majorité des Palestiniens à Jérusalem souffrent de la dette accumulée à cause des impôts ou d’autres questions.
Il a déclaré que la loi sioniste les oblige comme des Jérusalémites et des Arabes âgés plus de 18 ans de payer du montant annuel au profit de l’Organisation de l’assurance nationale pour rembourser une partie de ces sommes aux citoyens vieillards.
El-Hamouri a attribué l’état de pauvreté aux politiques programmées et pratiquées par les autorités de l’occupation sioniste contre les Palestiniens dans la ville sacrée et dans les territoires palestiniens occupées dans le but de les obliger de quitter leur sainte ville pour chercher d’autres ressources de biens et d’augmenter les dettes sur eux afin d’accomplir leurs situations économiques.
Les autorités de l’occupation imposent sur les Palestiniens plus de sept types d’impôts y compris l’Arnouna « Impôts locaux » qui atteint plus de 300 par année.