Des organisations juridiques et humanitaires en Europe ont confirmé la nécessité de la cession des violations sionistes aux droits de l’homme contre les détenus palestiniens appelant la communauté internationale à intervenir par la force pour arrêter la politique de la torture en particulier contre les femmes et les enfants détenus dans les prisons sionistes.
Les organisations juridiques et humanitaires ont appelé à donner aux détenus palestiniens leurs droits basiques dans les prisons et à stopper la détention administrative qui est effectuée sous prétexte de dossiers secrets. Elles soulignent l’importance de la libération immédiate des membres du Conseil législatif palestinien et d’autres dirigeants politiques.
Ces appels ont été lancés par des organisations françaises allemandes belges et norvégiennes lors d’une manifestation pacifique devant le siège de la Commission européenne à Bruxelles en Belgique à l’occasion de
La manifestation pacifique a été menée par plusieurs femmes et hommes les yeux bandés et entourés de barbelés de chaque côté tandis que d’autres ont brandi des drapeaux palestiniens et des pancartes condamnant les politiques sionistes contre les détenus et les photos des prisonniers.
Le Réseau européen pour soutenir les droits des prisonniers palestiniens l’UFREE l’une des institutions organisatrices de cette manifestation a appelé la communauté internationale à arrêter la politique de deux poids deux mesures dans le traitement de la question des prisonniers en concentrant son attention sur la capture d’un seul soldat sioniste qui se tenait dans un territoire occupé en oubliant les souffrances de milliers de prisonniers palestiniens.
Il a appelé à la libération inconditionnelle de tous les prisonniers palestiniens parce qu’ils « défendent leurs droits légitimes en vertu des lois et conventions internationales affirmant sa condamnation de l’utilisation de la politique de détention administrative et l’isolement contre les prisonniers palestiniens comme ce qui s’est passé avec la détenue malade Kifah Koutaich et le prisonnier aveugle Obada Saed Bilil et son épouse Nelly Safadi« .
Il a appelé l’Union Européenne et l’ONU à « contraindre l’entité sioniste à respecter les lois internationales concernant les droits des détenus et faire cesser la torture à leur encontre ainsi que de stopper toutes les violations pratiquées contre eux« .
Pour sa part le militant des droits de l’homme Luke Verwet a déclaré que les prisonniers palestiniens sont soumis à la torture en particulier les femmes s’exposent aux méthodes de harcèlement et de torture physique et psychologique d’humiliation et fouilles dans des conditions humiliantes coups et autres pratiques.
Verwet a confirmé que la majorité du peuple palestiniens dans
Les organisations ont condamné la politique de l’occupation visant à séparer les familles palestiniennes par l’isolement et la privation de visite depuis plusieurs années comme c’est le cas avec 676 prisonniers de Gaza qui sont interdits de visites depuis environ quatre ans et ne peuvent pas contacter leurs familles.
Il ont fait allusion à la souffrance des femmes et des enfants détenus dans les prisons sionistes confirmant que l’occupation les détient dans des conditions inhumaines.
Verwet a ajouté que l’occupation détient 221 enfants qui ont entre 12 et 18 ans selon les statistiques du mouvement mondial pour la défense des enfants en plus de 75 enfants qui ont été mis en résidence surveillée malgré leur jeune âge ce qui ne s’est pas produit dans le monde.
« 10% des détenus ont été mis en détention administrative qui est un ordre militaire qui permet à l’occupation d’arrêter toute personne arbitrairement sous le prétexte de la sécurité pour une période de 6 mois avec un renouvèlement arbitraire » a-t-il ajouté.
