Le centre d’al-Qods pour les droits sociaux et économiques a mis en garde des conséquences catastrophiques de la loi sioniste des propriétés des absentes qui visent les habitations et les terres des citoyens Palestiniens dans la partie est de la ville occupée d’al-Qods.
Dans un rapport publié le mercredi 21/7 par le département de recherche le centre a attiré l’attention que cette décision vise 13% des propriétés des Palestiniens qui habitent à l’étranger depuis l’occupation de la ville sainte en 1967 ainsi que les Palestiniens de la Cisjordanie qui habitent dans les quartiers Maqdissis situés sur les frontières de la municipalité sioniste.
Le rapport a souligné que cette décision raciste s’empare de tout le reste des propriétés des Palestiniens dans la partie est de la ville sacrée comme l’hôtel de Kalif Abou Dis de Chabred et de l’ambassadeur ainsi qu’une partie de la compagnie d’électricité d’al-Qods en plus des centaines de maisons palestiniennes dans la vieille ville et ses alentours.
Le centre a rappelé que les associations sionistes de Colonisation utilisent cette loi qui n’est pas annoncée officiellement depuis plusieurs années pour s’emparer des dizaines d’habitations palestiniennes dans la vieille ville et au quartier de Selwan.
Il a appelé à se diriger vers les tribunaux internationaux pour demander leurs propriétés et empêcher l’occupation de confisquer le reste des propriétés des Maqdissis.
De son côté le mouvement du Djihad islamique en Palestine a condamné fortement cette décision en précisant qu’elle représente une mesure raciste sioniste qui vise à judaïser toute la ville sacrée d’al-Qods.
Il a condamné également l’insistance de l’autorité du Fatah à Ramallah sur la poursuite des négociations inutiles avec l’ennemi sioniste sous l’ombre de cette situation catastrophique.