Mechaal a appelé à l’union palestinienne et la résistance nationale en espérant arriver à une stratégie commune de résistance nationale contre les violations et crimes de l’occupation en appelant la communauté internationale l’ONU les pays arabes et islamiques à assumer leurs responsabilités et lever l’embargo injuste arbitraire et inhumain de l’occupation israélienne imposé depuis 4 ans contre les habitants de Gaza.
Le haut dirigeant du Hamas a salué fortement les campagnes humanitaires très symboliques des délégations et activistes libres et solidaires européens et internationaux qui demandent la levée définitive du blocus et organisent des tournée vers la Bande de Gaza.
« J’appelle le dirigeant libyen Mouammar Al-Kadhafi d’inclure à l’ordre du jour du sommet de la Ligue arabe à Tripoli le 27 et 28 mars la reconstruction de Gaza et la fin du blocus » a annoncé Mechaal.
Mechaal a appelé également les pays arabes à élaborer une « stratégie nationale arabe » qui reliera chroniquement la diplomatie et la résistance légitime pour la libération des territoires palestiniens occupés.
« Le pouvoir n’est pas notre objectif et qu’on doit œuvrer au début pour la libération de nos terres réaliser le droit au retour des réfugiés palestiniens à leurs maisons puis établir un état et un gouvernement » a souligné Mechaal en critiquant la politique officielle du groupe palestinien qui négocie depuis l’accord d’Oslo en encourageant l’occupation israélienne et couvrant ses crimes ses violations dans les territoires palestiniens occupés notamment la judaïsation continuelle à Al Qods occupée et les creusements qui menacent la mosquée sainte d’Al Aqsa.
Enfin il a indiqué à l’échec de l’opération d’échange des captifs en portant le gouvernement de l’occupation israélienne comme le seul responsable en l’accusant de fuir ses promesses malgré les efforts déployés par le médiateur allemand pour l’accomplissement de l’opération d’échange des captifs en soulignant que le soldat Gilad Shalit ne sera libéré qu’à travers la libération des centaines de prisonniers palestiniens dont des chefs politiques et militaires de la seconde Intifada qui a éclaté en 2000.
