– La mesures brutales contre la captive lors de l’arrestation devant ses parents ou ses enfants.
– Les méthodes d’enquête sauvages et les tortures physiques et psychologiques.
– La privation des enfants.
– La négligence médicale aux femmes enceintes prisonnières.
– Les enchaînements pendant l’accouchement.
– Les formes de punitions dans les prisons de l’occupation dont les isolements l’utilisation de la force et les amendes.
– L’incarcération dans des endroits qui ne sont pas dignes pour un être humain.
– Les provocations et les inspections à toute heure par l’administration des prisons.
– Les insultes les agressions sauvages et l’utilisation du gaz lacrymogène.
– Les mauvais traitements lors de leurs sorties des tribunaux ainsi que pendant les visites et les transferts d’un appartement à un autre à l’intérieur des prisons.
– Les grands obstacles pour l’introduction des livres aux prisonnières qui passent la plupart du temps dans leurs cellules.
– Les difficultés pour accomplir leurs rites religieux.
– La mauvaise qualité et quantité des nourritures.
– Lors de l’isolement des captives elles sont rejetées près des criminelles juives.
– Les chambres sont surpeuplées où la situation est insupportable.
– Le manque des produits de nettoyage.
– L’interdiction aux parents d’introduire des vêtements aux prisonnières.
– Le manque d’attention aux enfants et nourrissons des captives et de leurs besoins alimentaires.
Le centre a souligné que le nombre des captives qui souffrent énormément dans les prisons de l’occupation a dépassé 70 personnes dont 50 ont été jugées et condamnées à différentes peines alors que 15 autres sans jugement et 5 autres dans les détentions administratives.
Le centre juridique a condamné les violations flagrantes dans les prisons de l’occupation où se trouvent 11600 captives et captifs palestiniens dont environ 340 enfants et le plus petit enfant captif Youssef Rezq fils de Fatima Rezq s’exposent aux violations sionistes sauvages dans plus de 25 prisons centres d’incarcération et postes d’enquêtes.