La rencontre internationale d’Al-Qods qui a pris fin hier samedi 17/11 dans la ville turque d’Istanbul a affirmé que les dangereuses agressions sionistes contre les lieux saints islamiques et chrétiens et surtout contre la sainte mosquée d’Al-Aqsa qui s’est retrouvée exposée à des creusements qui visent à la démolir pour construire le prétendu temple représentent une menace contre la paix et la sécurité dans la région et dans le monde entier.
Elle a ajouté que ces agressions sionistes représentent également une attaque contre l’héritage historique de la civilisation islamique et une menace contre la ville occupée d’Al-Qods et la Palestine. Il a alors appelé tous les peuples du monde à arrêter ces agressions.
La rencontre qui a publié l’annonce d’Istanbul a affirmé que les pratiques coloniales racistes qui visent à effacer le visage arabe et islamique de la ville occupée d’Al-Qods et à violer les droits nationaux et religieux de son peuple sont des tentatives refusées et condamnées.
Le communiqué final de la rencontre a déclaré que toutes les formes et tous les niveaux de la résistance sur la base de l’unité nationale et de la participation populaire libre sont le seul moyen de faire face à l’occupation et à ses plans pour libérer les territoires dans la ville occupée d’Al-Qods en Palestine et dans toutes les régions occupées de nos pays arabes et de tous les pays du monde.
Le communiqué a également affirmé que les rencontres internationales à l’égard des Etats-Unis engagés à soutenir l’occupation et à justifier ses crimes pour exécuter la question palestinienne sont inutiles.
L’annonce d’Istanbul a affirmé que l’occupation sioniste qui a occupé la partie ouest de la ville d’Al-Qods en 1948 et l’Est en 1967 est une occupation raciste coloniale et terroriste contre le mouvement de l’histoire.
L’annonce d’Istanbul a ajouté qu’on doit travailler pour mettre un terme à cette occupation dans la ville d’Al-Qods en Palestine dans le Golan et dans les fermes de Cheba pour cesser tout type d’occupation dans le monde.
L’annonce d’Istanbul a également insisté sur le droit des réfugiés palestiniens et surtout des habitants d’Al-Qods au retour vers leurs maisons parce qu’il représente un droit individuel et collectif que personne ne peut pas annuler.
Enfin le communiqué a affirmé le droit du peuple palestinien à pratiquer tous ses droits nationaux sur ses territoires historiques dont les droits politiques.