Au moment où les enquêteurs israéliens prennent des mesures agressives contre les captifs palestiniens dans les centres d’interrogation les unités spéciales qui frappent les captifs palestiniens dans les prisons israéliennes ont commencé à les frapper avec de nouvelles armes interdites.
Le porte-parole de l’organisation des captifs et libérés Rafiq Hamdouna a averti que les autorités de l’occupation israélienne escaladent la violence contre les captifs palestiniens dans leurs prisons et utilisent des armes interdites internationalement pour imposer leurs décisions par la force.
Il a dit que les soldats israéliens ont envahi la prison à trois reprises en un mois alors qu’ils ont utilisé de nouvelles armes interdites qui mettent la vie des captifs en danger.
De son côté le club du captif palestinien (Nadi Al-Assir Al-Falastini) a envoyé des lettres aux organisations juridiques et à l’autorité des prisons israéliennes en les appelant à fermer le centre d’arrestation de Hawara au nord de la Cisjordanie parce qu’elle les conditions de vie y sont mauvaises et il s’opposr aux lois et droits internationaux.
Les captifs de la prison de Hawara ont dévoilé à l’avocat du club du captif palestinien les situations sanitaires dans la prison.
D’autre part l’association de Nafha pour la défense des droits des captifs et de l’homme a affirmé que les captifs dans la prison de Hawara ont protesté contre un repas salé en le refusant.
Les captifs ont appelé les organisations des droits de l’homme à visiter la prison de Hawara pour voir les situations catastrophiques des captifs.
Par ailleurs la famille du captif malade Mohammed Bachir Moussa (24 ans) de Beit Jala a appelé les responsables palestiniens les organisations juridiques et la Croix Rouge internationale à intervenir immédiatement pour aider son fils captif dans l’hôpital de la prison d’Al-Ramla.
De plus l’avocate de l’association de Mandial aux affaires des captifs palestiniens Bouthina Dikmak a dit lors de sa visite dans les prisons israéliennes que les directions de ces prisons escaladent leurs mesures oppressives contre les captifs palestiniens et leurs familles lors des visites.
