Fri 20-September-2024

L’entrée des suspendus par le passage Al Ouja menace les résistants dêtre arrêtés par loccupation

dimanche 29-juillet-2007

Le chef du cabinet du premier ministre au gouvernement légal d’unité nationale Mohammed Al-Madhoun a affirmé que son gouvernement refuse l’entrée des citoyens palestiniens suspendus sur le passage de Rafah à travers le terminal d’Al-Ouja pour plusieurs raisons politiques.

Il souligné que Rafah est un passage palestino-égyptien dont on doit imposer la souveraineté palestinienne et égyptienne sans permettre aux forces occupantes de le contrôler.

Il a déclaré égalment que la décision de l’entrée des palestiniens suspendus à travers le passage d’Al-Ouja représente un nouveau piège qui va imposer un autre siège contre les palestiniens dans la bande de Gaza en soulignant que plusieurs jeunes résistants vont devenir des otages faciles pour l’occupation..

Il a ajouté que le contrôle du passage par l’occupation israélienne va renforcer la liaison économique entre l’occupation israélienne et l’autorité palestinienne en refusant totalement cette mesure et en appelant à éviter l’exploitation de telles questions pour servir des agendas étrangers sous prétexte que le Hamas contrôle la bande de Gaza.

Il a insisté sur l’importance d’ouvrir le passage de Rafah qui est la seule issue des palestiniens en s’interrogeant :  » pourquoi la décision est devenue liée au soldat israélien » ?

De son côté le ministère des affaires étrangères au gouvernement d’unité nationale a annoncé son refus à l’entrée des palestiniens suspendus au pasage de Rafah à travers le terminal d’Al-Ouja dans les territoires palestiniens occupés en 1948.

Le ministère a averti dans un communiqué dont le Centre Palestinien d’Information a reçu une copie d’effectuer un tel pas qui va nuire à des dizaines de palestiniens en les exposant au danger d’arrestation par les forces occupantes.

Il a dit que la décision de faire entrer les palestiniens suspendus à travers le passage d’Al-Ouja représente un crime en affirmant que la meilleure solution pour cette crise est l’ouverture du passage de Rafah.

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