Le groupe de Ramallah dirigé par le président sortant Mahmoud Abbas exagère dans ses mensonges et poursuit de trahir la nation et les intérêts suprêmes du peuple palestinien » a déclaré hier soir dimanche 11/10 à Damas le chef du bureau politique du Hamas Khaled Mechaal.
Mechaal a appelé également à enquêter sur le report du rapport de Goldstone et juger les coupables qui ont protégé les crimes de l’ennemi sioniste.
Mechaal a précisé dans son discours devant plus de 1428 personnalités venues de 55 pays à la fin des préparatifs du forum international du Golan intitulé « le Golan reviendra » en attirant l’attention sur l’importance du rapport de Goldstone qui a condamné pour la première fois les crimes de l’entité sioniste contre Gaza tout en contestant contre le groupe de Ramallah qui a protégé les dirigeants criminels sionistes en reportant la discussion du rapport devant le conseil des droits de l’homme à Genève ».
« Le président américain ne nous offre que des allocutions alors qu’il soutient totalement les sionistes sur le terrain » à contesté Mechaal d’un ton très ferme contre la stratégie de Barak Obama qui avait salué les agressions sionistes contre la Bande de Gaza avant le début son mandat présidentiel.
Le leader du Hamas a confirmé l’attachement de son mouvement à la réconciliation la démocratie la transparence des élections la réforme générale des institutions nationales sous la base d’une stratégie patriotique renforcée au droit de la résistance nationale contre les crimes de l’occupation sioniste au droit de retour des réfugiés palestiniens à leurs maisons et propriétés confisqués depuis plus de 60 ans par les occupants israéliens ainsi que la libération d’Al Qods et sa mosquée sainte d’Al Aqsa.
Mechaal a souligné également que son mouvement s’attache fortement aux efforts égyptiens déployés pour la réalisation du consensus national palestinien en prouvant que la position irresponsable inacceptable de l’autorité palestinienne qui a contribué directement au report du rapport de Goldstone a provoqué la colère des palestiniens notamment les familles des victimes qui attendaient la condamnation de leurs agresseurs criminels sionistes chose qui a influé négativement sur la date proposée pour la reprise du dialogue et la réalisation de la réconciliation nationale.
