Le Mouvement de résistance islamique « Hamas » a confirmé qu’il restera un représentant de l’unité nationale arabe et islamique et que la question de la libération des prisonniers et celle de la lutte contre la normalisation restera l’une de ses principales priorités.
Le Hamas a souligné dans un communiqué à l’occasion du 32e anniversaire de son lancement aujourd’hui samedi que la résistance face à l’occupant se poursuivra dans son agenda jusqu’à la réalisation de ses objectifs dont la libération des terres le retour et l’instauration d’un État indépendant sur l’ensemble du territoire palestinien.
Le communiqué a passé en revue l’histoire du mouvement Hamas depuis sa création le 14 décembre 1987 avec le début de l’Intifada des pierres (la première Intifada palestinienne) jusqu’à son refus du prétendu « accord du siècle » et à la poursuite des marches du retour.
Concernant le plan de la sécurité le communiqué a souligné que le mouvement du « Hamas » a défié tous les énormes potentiels de la sécurité israélienne et a pénétré ses systèmes de sécurité de nombreuses fois depuis l’enlèvement de ses soldats pour les échanger contre des prisonniers jusqu’à la bataille de « Hadd as-Seyf » considérée comme une dure leçon de sécurité pour l’occupation.
Il a rappelé ses efforts sa lutte sa vison et sa politique stratégiques face à l’accord d’Oslo et ses mauvaises obligations ses graves répercussions en particulier la coordination de sécurité avec l’ennemi occupant.
Le Hamas est le plus grand partisan des marches du retour et de la rupture du siège aux niveaux humain matériel et moral. Il est le plus grand partisan de la création d’une salle d’opérations militaires conjointes et le premier à accueillir favorablement la visite des huit factions afin de rétablir l’unité et de briser le siège et fait encore plus de concessions pour la mise en place d’élections nationales honnêtes. Le Hamas a répondu à toutes les conditions proposées par le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à l’intérêt du peuple palestinien et sa juste cause nationale.