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Olmert : on doit signer un accord avec Abbas pour quIsraël ne regrette pas à lavenir

mardi 16-septembre-2008

Malgré l’approche de la fin du mandat des deux négociateurs en chef le premier ministre sioniste Ehud Olmert frappé par d’énormes affaires de Fraude et le président de l’autorité palestinienne Mahmoud Abbas mais ces deux derniers tentent d’arriver à la signature d’un accord d’ici la fin 2008.

Olmert devait rencontrer aujourd’hui Abbas dans la ville  occupée d’Al Qods pour essayer de nouveau d’arriver à leur espoir et parvenir à un cet accord.

Les dirigeants de toutes les factions palestiniennes notamment le Hamas et le Djihad islamique ont exprimé leur fort refus à tout compromis ou accord qui ignore les droits intérêts suprêmes et principes du peuple palestinien.

« Abbas n’a pas le droit de renoncer aux droits sacrés des palestiniens notamment le droit au retour des réfugiés palestiniens ainsi que la ville sainte d’Al Qods et d’autres questions importantes » ont souligné les dirigeants palestiniens.

« Olmert insiste que la porte n’est encore fermée pour parvenir à un tel compromis » a affirmé à l’AFP le porte-parole d’Olmert Mark Regev.

Olmert souhaite parvenir à un accord avec le président Abbas sur un document qui récapitulerait par écrit les grandes lignes des points d’accord conclus depuis la relance des négociations entre les dirigeants de l’autorité palestinienne et les israéliens a rapporté la radio militaire de l’occupation.

Cette radio a ajouté que l’objectif d’Olmert est d’élaborer un document commun qui puisse être utilisé comme une base de discussions durant les prochaines négociations.

Olmert a exprimé lundi ses fortes inquiétudes de l’échec des négociations avec les palestiniens en insistant qu’il faut signer cel accord avec eux en disant : »chaque jour qui passe sans que nous puissions parvenir à un accord avec les Palestiniens va être regretté au futur ».

Dans ce contexte le comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a évalué l’impossibilité de signer  un tel accord en confirmant que les chances de parvenir à un accord avant la fin de cette année sont faibles ».

Le chef des négociateurs palestiniens Ahmed Qoreï s’est montré lui aussi pessimiste sur la chance d’un accord avant la fin de l’année 2008 malgré les grandes hallucinations du congrès d’Annapolis.

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