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Sun 17-November-2024

Le Hamas pleure le chef du Hezbollah, Muhammad Afif

lundi 18-novembre-2024

Beyrouth – CPI

Le Mouvement de la résistance islamique, le Hamas, a pleuré le Hajj Muhammad Afif ; Responsable des relations avec les médias du Hezbollah, tué à la suite d’une frappe aérienne menée par des avions de guerre de l’occupation israélienne sur la capitale libanaise, Beyrouth.

Dans un communiqué reçu dimanche par le Centre d’information palestinien, le Hamas a fermement condamné « la commission de ce crime odieux » par les forces d’occupation.

Il a confirmé que l’assassinat d’une personnalité médiatique politique ; « ne pourra pas réduire la voix de la résistance au silence, mais révélera plutôt la profondeur du fossé moral dans lequel se trouve l’occupation, et sa détresse face au mot résistance. »

Il a souligné que « par cette politique criminelle menée par l’occupation terroriste ; Les forces de résistance libre ne seront pas dissuadées de poursuivre leur objectif : briser la volonté de cet occupant fasciste et l’expulser de notre terre et de nos lieux sacrés.»

Le communiqué du Hamas dit :  » Le leader Hajj Muhammad Afif, avec ses apparitions médiatiques audacieuses depuis le cœur de la banlieue sud de Beyrouth, et au plus fort de l’agression barbare contre le Liban ; était une voix de résistance forte et provocante, perturbant l’occupation et son système défaillant, et révélant ses crimes. »

Le Hamas a présenté ses sincères condoléances et sa sympathie aux dirigeants du Hezbollah, à la famille de Hajj Afif et au peuple libanais, notant que « ce sang pur, qui croise celui des dirigeants martyrs au Liban et en Palestine, ne sera pas vain ».

Aujourd’hui dimanche, l’armée d’occupation israélienne a annoncé l’assassinat du responsable des relations avec les médias du Hezbollah, Muhammad Afif, lors d’un raid israélien dans le quartier de Ras al-Nabaa à Beyrouth, selon ce qu’a annoncé une source sécuritaire.

Al Jazeera a cité la source disant que le raid israélien a visé un bâtiment appartenant au parti Baas dans la zone centrale de la capitale, Beyrouth, ce qui a entraîné un déplacement important de résidents, d’autant plus que la région est considérée comme une nation relativement pacifique. .

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