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Sat 19-October-2024

Deux patients de l’hôpital indonésien, situé au nord de Gaza décédés en raison du siège imposé par les forces d’occupation

samedi 19-octobre-2024

Gaza- CPI

Le ministère de la Santé palestinien à Gaza a confirmé la mort de deux patients à l’hôpital indonésien, situé au nord de la bande de Gaza, en raison du siège imposé par les forces armées d’Occupation terroriste sioniste, ainsi que de la coupure d’électricité et des fournitures médicales.

Dans un communiqué de presse reçu par « Quds Press » ce samedi, le ministère a déclaré que « l’Occupation terroriste sioniste impose un blocus sévère sur les hôpitaux du nord de Gaza, depuis la nuit dernière, où l’hôpital indonésien a été bombardé, et l’hôpital Al-Awda ainsi que l’hôpital Kamal Adwan ont été encerclés en même temps. »

Il a été mentionné que « l’hôpital indonésien subit des coupures de courant, tandis que le siège des forces armées d’Occupation nazie sioniste se poursuit, rendant impossible l’accès des équipes techniques aux générateurs. »

Le ministère a souligné que « la situation est catastrophique dans les hôpitaux de Gaza et du nord, avec plus de 500 corps de martyrs arrivés dans les hôpitaux. »

Il a affirmé que « l’Occupation fasciste sioniste commet massacre après massacre dans le nord de la bande, en s’efforçant de rendre le système de santé dans le nord de Gaza non opérationnel. »

Le ministère de la Santé a demandé la protection des équipes médicales et des hôpitaux à Gaza, confirmant la mort du médecin Mohamed Ahmed Al-Qudayri au complexe médical Al-Shifa, suite à un bombardement ciblant sa maison dans le camp de la plage à Gaza. Il a également été rapporté que le médecin Bilal Abdul Aal et quatre membres de sa famille ont été tués dans le bombardement de leur maison dans le quartier Al-Ilmi, au camp de Jabalia, au nord de la bande.

L’armée de l’entité usurpatrice nazie sioniste, soutenue par les États-Unis et l’Europe, poursuit son agression barbare génocidaire contre la population civile de la bande de Gaza, depuis plus d’un an, bombardant les environs des hôpitaux, des bâtiments et des maisons de civils palestiniens, tout en empêchant l’entrée de l’eau, de la nourriture, des médicaments et du carburant.

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