Gaza – CPI
La rapporteuse spéciale des Nations Unies sur le droit à la santé, Tlaleng Mofokeng, a déclaré avoir été témoin de « l’horreur du génocide à Gaza », depuis le début de l’agression sioniste, le 7 octobre.
Cette déclaration est tenue lors d’une conférence de presse conjointe, lundi, par Mofokeng avec d’autres rapporteurs de l’ONU sur la situation à Gaza et dans les territoires palestiniens occupés, dans le cadre de la 57e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève, en Suisse.
Mofokeng a ajouté que Gaza est témoin d’un génocide, depuis 11 mois par l’Occupation nazie sioniste, expliquant que les attaques contre les hôpitaux et les travailleurs du secteur de la santé ont atteint un niveau sans précédent, et elle a également indiqué que l’infrastructure sanitaire de Gaza a été complètement détruite.
Elle indique que seuls 17 des 36 hôpitaux de Gaza continuent de fonctionner partiellement, notant qu’Israël (l’Occupation terroriste sioniste) continue de violer le droit international, en lançant des attaques contre des civils, des enfants et des agents du secteur de la santé.
Catastrophe publique
Concernant le système international, le rapporteur de l’ONU, George Catrogalos, il a déclaré que ce qui se passe dans les territoires palestiniens est « un désastre public pour tout le monde ».
Il a ajouté que ce désastre et cette tragédie ne se limitent pas aux seuls Palestiniens, mais sont directement liés à l’avenir du pluralisme et aux normes des Nations Unies.
Catrogalos a appelé à la reconnaissance immédiate de l’État de Palestine et à ce que tous les pays exercent des pressions pour mettre fin à la guerre génocidaire sioniste en cours à Gaza.
