Nazareth – CPI
Les données statistiques ont révélé qu’un million de Sionistes ont quitté l’État occupant et n’y sont pas revenus depuis le début de la guerre de génocide contre Gaza, le 7 octobre.
Selon les données rapportées par le journal Yedioth Ahronoth, le nombre de Sionistes partis depuis octobre 2023 a atteint environ un million, « reflétant l’augmentation de la migration inverse ».
Le journal indique que 550 000 personnes ont quitté l’Entité sioniste, au cours des 6 premiers mois de la guerre, soit plus que le nombre de Sionistes revenus jusqu’à avril dernier.
Les données ont montré qu’il y a eu une augmentation de 20 % du nombre d’immigrés par rapport à l’année dernière, avec le phénomène généralisé d’établissement de rassemblements de colons sionistes à l’étranger.
Le journal attribue l’augmentation de la migration inverse à l’escalade des menaces et à la possibilité que l’Entité usurpatrice nazie sioniste entre dans une guerre régionale avec l’Iran et le Hezbollah, ainsi qu’à la poursuite de la guerre d’extermination contre Gaza et à la baisse du niveau de vie et du niveau de vie, la hausse du taux d’inflation qu’elle a provoquée, en plus de la division interne de Sionistes contre eux-mêmes.
En février et mars dernier, les données sur l’immigration ont enregistré la sortie d’environ 27 000 personnes, tandis que les chiffres indiquent un écart important en faveur de ceux qui partent par rapport à ceux qui arrivent, tandis que le nombre d’immigrants dans l’Entité sioniste a diminué, puisque le nombre mensuel n’a atteint qu’environ 2 500 immigrés.
Les données publiées par le recensement sioniste indiquent que de nombreux Sionistes qui ont la possibilité d’obtenir une « seconde patrie » à l’étranger choisissent de s’installer ailleurs en période d’escalade du conflit, à la recherche de sécurité et de stabilité ailleurs.
Cette tendance contraste fortement avec les affirmations des partisans du sionisme qui prétendent que l’Entité sioniste est le refuge ultime pour les Juifs du monde entier.
