Qalqilya – CPI
Trois soldats des forces armées d’Occupation terroriste sioniste ont été blessés, jeudi matin, lors d’une opération de tir héroïque, près de la ville d’Azzun, à l’est de la ville de Qalqilya.
Les combattants de la résistance palestinienne ont ouvert le feu sur les soldats occupants nazis sionistes sur la route 55, à l’ouest de la ville d’Azzun, à l’est de la ville de Qalqilya.
Les forces armées d’Occupation terroriste sioniste ont admis que trois soldats avaient été blessés, leurs blessures allant de modérées à graves, à la suite d’une fusillade provenant d’une voiture roulant à grande vitesse à l’ouest de la ville d’Azzun.
Les résistants ont réussi à se retirer en toute sécurité après avoir mené l’opération de tir, tandis que les forces armées d’Occupation nazie sioniste ont fermé l’entrée est de la ville de Qalqilya et installé plusieurs points de contrôle militaires, à l’est de la ville et se sont largement déployées dans la région.
Des appels urgents ont été lancés pour arrêter les caméras de surveillance, supprimer les enregistrements photographiques de ces caméras au cours des dernières heures et incendier plusieurs quartiers de la ville et des villages voisins, afin de confondre l’Occupation dans la poursuite des résistants.
Les opérations de résistance se sont poursuivies en Cisjordanie et dans l’intérieur occupé, au cours des dernières 24 heures, dans le cadre de la bataille du « déluge d’Al-Aqsa ».
Le Centre d’information palestinien « Moata » a suivi 19 actes de résistance, qui varient entre 5 tirs, un affrontement armé, la détonation d’un engin explosif et le lancement de cocktails Molotov, ayant entraîné l’incendie d’un véhicule militaire, face aux colons et la destruction de leur véhicule, et le déclenchement d’affrontements et de jets de pierres et de cocktails Molotov sur 7 points d’affrontement. Et une manifestation a eu lieu.
Depuis l’aube et la matinée de jeudi, la Cisjordanie a connu trois opérations de tir. Outre l’opération Azzun, des résistants ont ouvert le feu en direction du check-point militaire de « Beit Furik », à l’est de la ville de Naplouse, et du point militaire de l’armée d’Occupation sioniste sur le mont Garizim dans la ville.
