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Fri 20-September-2024

Le sénateur américain appelle à mettre fin à la complicité américaine dans la catastrophe humanitaire à Gaza.

dimanche 12-mai-2024

Le sénateur américain Bernie Sanders a appelé à mettre fin à la complicité américaine dans la catastrophe humanitaire qui sévit parmi les Palestiniens dans la bande de Gaza.

Dans un tweet sur son compte X, Sanders a appelé l’administration américaine à cesser de fournir des armes à Israël, affirmant que l’incursion terrestre israélienne dans la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, a entraîné la fermeture des principaux passages et la famine de la population.

Il a ajouté : « L’incursion de Rafah devrait signifier la cessation de toute aide militaire américaine au gouvernement du Premier ministre sioniste, Benjamin Netanyahu, d’extrême droite ».

Dans un communiqué sur l’agression génocidaire d’occupation sioniste continue contre la bande de Gaza depuis plus de 7 mois, il a affirmé que la bande de Gaza n’avait reçu aucune aide humanitaire depuis 5 jours, en raison de la fermeture des principaux passages à la suite de l’incursion d’occupation à Rafah.

Il a déclaré : « Les États-Unis ne peuvent pas continuer à être complices de la catastrophe humanitaire à Gaza, où il n’y a ni nourriture, ni eau, ni médicaments, ni carburant, et où les enfants meurent de faim ».

Sanders avait déjà accusé les États-Unis de complicité dans la tragédie vécue par le peuple palestinien, déclarant dans un discours prononcé devant le Sénat en début d’année qu’il avait du mal à comprendre pourquoi le Congrès ne bougeait pas pour mettre fin à la souffrance des Palestiniens et pour traiter la catastrophe humanitaire à Gaza.

Le mardi dernier, l’armée néonazie de l’entité sioniste usurpatrice a lancé une incursion terrestre limitée dans la ville de Rafah, prétendant qu’elle était « limitée « , et a ordonné l’évacuation de la zone est de la ville. Samedi dernier, elle a émis davantage d’ordres d’évacuation pour les quartiers profonds de la ville après des bombardements intenses ayant entraîné la mort d’environ 100 civils, la plupart des femmes et des enfants, en l’espace de 5 jours.

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