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Om Nidal « Khensa Palestine » la mère palestinienne croyante et fière

dimanche 18-février-2007

 Gaza – spécial

 Les sacrifices faits pas la mère palestinienne croyante ne sont plus des souvenirs ce sont des réalités. La mère palestinienne d’aujourd’hui donne son fils comme martyr remerciant Allah.

 La mère palestinienne Om Nidal Farahat est une de ces mères qui a donné le plus cher pour sa chère patrie la Palestine. On l’appelle aujourd’hui Khensa’ Palestine. Elle a donné le corps de son fils pour qu’il soit une chandelle sur la route de la libération de la Palestine.

 Om Nidal est la mère d’un prisonnier la mère d’un recherché et la mère d’un martyr Mohammed Farahat qui était dans son dix-septième printemps habitant du quartier Al-Chadja’ia de Gaza un héro membre des brigades de ‘Izzidin Al-Qassam. L’un de ces derniers jours coïncident avec son deuxième anniversaire de sa tombée en martyre. Malgré son jeune âge il a porté l’arme pour aller au combat sans prêter attention au destin qui l’attend. Il avait un seul but exécuter le jugement d’Allah aux ennemis d’Allah et du peuple palestinien.

 Le martyr Mohammed voyait son peuple tué assassiné leurs maisons détruites leurs terrains rasés par les sionistes. Il a décidé de venger son peuple.

 Le 07/03/2002 Mohammed est sorti portant son arme pour son dernier voyage après avoir fait ses adieux à sa mère. Il a pu passer toutes les mesures les barrages et les portails sécuritaires électroniques sionistes jusqu’à arriver à la colonie de ‘Atsmouna où il est resté vers 10 heures sans avoir peur attendant qu’un grand nombre de militaires sionistes se rassemblent puis il est sorti pour en tuer sept parmi eux et blesser des dizaines d’étudiants dans l’académie militaire dans la colonie de ‘Atsmouna.

 Cette opération de qualité est la fierté de tous les Palestiniens. En effet il a effectué ce que des troupes militaires bien entraînées n’arrivent pas à faire et à faire tomber l’illusion de la grande force de l’ennemi.

 Depuis son enfance il voulait appartenir aux brigades des martyrs d’Al-Aqsa mais sa demande était refusée pour son bas âge. Mais sa mère a pu l’appuyer pour le faire rentrer dans les brigades. Il n’est pas rentré dans une académie militaire pour apprendre les arts du combat mais il a tout appris de sa mère.

 Sa mère lui a fait ses adieux sans larme en lui conseillant de toujours se rappeler Allah.

 Mohammed ne connaissait pas les détails de son opération que quelques jours avant le jour J. Sa mère la nuit de l’opération est restée éveillée implorant Allah que l’opération réussisse. Elle écoutait les informations jusqu’à l’arrivée de la nouvelle de la réussite de l’opération. Elle s’est précipitée pour le dire à ses enfants. Elle a distribué des desserts et elle a reçu des félicitations pour la réussite de l’opération au lieu de condoléances.

 Elle dit de son fils qu’il voyait les jours qui précédaient l’opération le Paradis. Il n’acceptait d’aller nulle part car il attendait le martyre et elle lui conseillait de faire plus de prières et de réciter encore plus du Coran.

 Le jour de l’opération qui était un jeudi Mohammed jeûnait. Il lui a téléphoné de Rafah et elle lui a conseillé de ne pas hésiter.

 Mohammed a réussi à rentrer dans la colonie de ‘Atsmouna jusqu’aux salles d’entraînement où il a jeté ses bombes et a tiré des balles pour une durée de vingt minutes. Il a jeté neuf chargeurs de munitions en vingt minutes seulement. Il a dominé la colonie tout seul pendant tout ce temps-là. Dans son chemin de retour un soldat a ouvert le feu sur lui pour qu’il meure sur-le-champ.

 Om Nidal dit que les meilleurs jours de sa vie étaient quand Mohammed a obtenu les armes en les amenant pour la réjouir en lui affirmant qu’il devenait un homme et elle lui a demandé d’être véridique avec elle pour qu’elle l’encourage.

 Elle dit qu’elle avait peur au début parce qu’elle a commencé à compter les jours de son cinquième garçon surtout qu’elle avait peur qu’il échoue dans un combat ou qu’il soit détenu avant qu’il l’effectue comme cela s’était passé avec son frère.

 Une semaine avant l’opération il lui a donné les grandes lignes de l’opération. Elle dit : « Je n’ai pas pu retenir mes larmes. Le sentiment maternel m’a vaincu et je pleurais devant lui mais je lui ai dit : Ne crois pas en mes larmes ».

 Nous sommes fiers de cette mère qui a fait ce que l’homme le plus fort ne parvient pas à faire. Nous avons besoin de ton école pour apprendre des leçons de sacrifice pour avoir la forte croyance et pour comprendre que nos destins sont déjà écrits auprès d’Allah et pour gagner le martyre et la vraie victoire.

 Tu étais le symbole d’une tendre mère qui donne le sang de ses enfants.

 Probablement tu as sacrifié ton lionceau dans un grand jour. Mais n’oublie pas Ô ! la tendre mère Om Nidal que tous les enfants de la Palestine sont tes enfants. C’est un honneur que tous les fils de la Palestine vont en être fiers.
 

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