L’ex-prisonnier libéré ; Abdel-Karim Abdelkader est retourné dimanche soir 06/05 à sa famille après avoir passé 24 mois dans les prisons de l’occupation israélienne sous des accusations de sécurité où sa mère l’attendait et l’embrassait ; les larmes pleuvaient pour lui ainsi qu’il a été accueilli par sa famille et des dizaines de ses proches et amis.
L’ex-prisonnier libéré ; Abdel-Karim Abdelkader a déclaré au correspondant du site des Palestiniens 48 que sa sensation est indescriptible: « ce que je souhaite c’est le bonheur la joie pour tous non pas la joie de captivité car la captivité est très difficile chose que je ne la souhaite à personne vu que c’est une souffrance et humiliation et toute allocution de ça n’est pas comme le vivre ».
En ce qui concerne les situations des prisonniers il a ajouté que le mouvement des captifs est actuellement en grève de la faim où tout le monde y a participé nous attendons de toutes les institutions professionnelles d’agir en solidarité avec les prisonniers les protéger et réaliser leurs revendications où certains d’entre eux ont atteint le 67éme jour de grève et personne n’a réagit ces prisonniers risquent de mourir parce qu’ils demandent des revendications intuitives dont toute personne et chaque prisonnier a le droit d’avoir et très bientôt ces revendications vont être réalisées
D’autre part Hamed a expliqué qu’il avait participé à la grève et atteint son 11éme jour ainsi que « le message des prisonniers selon le mouvement des captifs consiste à attendre toujours le soutien de tout le monde et leur aide » a-t-il poursuivi.
Alors que le père du prisonnier Abdelkader Hamed à déclaré à notre correspondant qu’il attendait son fils depuis le matin devant la prison de Nafha où l’administration pénitentiaire l’avait informé qu’elle va le libérer entre 10 heures du matin et 11 heures or qu’il a attendu jusqu’à 16 heures « ils ont tué notre joie je ne l’ai pas vu depuis six mois car il a été sanctionné et emmené à une cellule où se trouvent les prisonniers punis et je ne peux pas décrire notre sentiment après-avoir été libéré je ne peux dire que Dieu merci » a-t-il révélé.
