Un rapport onusien a accusé les autorités de l’occupation israélienne d’avoir expulsé plus de 60 citoyens palestiniens en raison de processus de démolition effectués dans la ville occupée de Jérusalem et la région « C » située sous le contrôle sécuritaire et civile de l’occupation en plus du dommage de plus de 100 personnes autres et avoir ciblé des bâtiments construits et fournis par les Nations Unis.
Le bureau de la coordination des affaires humanitaires dans les territoires palestiniens occupés « OCHA » a déclaré dans un rapport publié le samedi 2/6 que les autorités de l’occupation israélienne ont démoli au cours de la semaine dernière 17 bâtiments palestiniens y compris 7 dans la région « C » en Cisjordanie occupée sous prétexte de la construction sans autorisation expulsant plus de 60 citoyens palestiniens dont au moins 40 enfants.
Il a souligné que certains bâtiments démolis ont été fournis par des ONG et financés par la caisse de »Istijaba » (réponse) appartient à l’ONU comme des aides urgentes après des anciens processus de démolition.
Le rapport a ajouté que les autorités de l’occupation à Jérusalem ont également détruit deux bâtiments résidentiels dont l’un dans le village de Sour Baher et l’autre dans la vieille ville où elles ont oblgé leurs propriétaires de les démolir conformément aux ordres de démolition indiquant que plus de 11 établissements agricoles ont été aussi démolis ce qui a endommagé plus de 100 personnes.
La fondation onusienne a poursuivi dans son rapport que les forces occupantes ont confisqué des équipements y compris des générateurs en plus que le carburant dans le cadre de processus de démolition dans le village de Hazma.
Les autorités occupantes ont publié au cours de cette semaine des ordres d’arrêt de la construction de deux maisons résidentielles dans le village de Heja près de la ville de Qalqilia dans le nord de la Cisjordanie et des avis de confiscation de 30 dunums des terres agricoles appartiennent au village de Dir Astia à Salfit et situent près de la clonie d’Aymanoël pour des raisons de sécurité.
Il est à noter que les citoyens palestiniens ne peuvent pas utiliser ces terres depuis 1996 parce qu’elles se situent dans l’intérieur du cordon qui entoure la colonie.