« L’armée de l’occupation israélienne a commis des crimes de « destructions gratuites » ciblant des civils Palestiniens durant sa guerre barbare dans la bande de Gaza en décembre et janvier » a affirmé l’organisation internationale «d’ Amnesty ».
Reuters a rapporté qu’ Amnesty International a souligné dans son rapport en se référent à une maison endommagée à Rafah dans le sud de la bande de Gaza que l’armée sioniste s’est livrée à des actes de « destructions gratuites » visant des civils Palestiniens au cours de son offensive sauvage contre la bande de Gaza.
L’organisation humanitaire a également prétendu dans un rapport de 117 pages consacré aux 22 jours d’offensive sioniste que même les tirs de roquettes de la résistance nationale palestinienne (en précisant les résistants du Hamas) contre l’occupation Israélienne constituaient des « des crimes de guerre » tout en affirmant n’avoir trouvé aucune preuve que des civils ont été volontairement utilisés par les militants du Hamas comme des boucliers humains contrairement à la propagande de l’armée israélienne.
Amnesty a estimé dans son rapport que « La plupart des destructions étaient gratuites et délibérées » en ajoutant qu’elles ont été conduites dans des circonstances qui confirment qu’elles n’étaient pas justifiées par des impératifs militaires. »
L’organisation humanitaire a confirmé n’avoir recueilli aucune preuve montrant que « le Hamas et les autres factions palestiniennes armeés obligeaient des civils à demeurer à l’intérieur ou à proximité de habitations utilisées par leurs résistants. »
L’horrible et étonnant à l’opinion publique c’est que Amnesty a dévoilé dans son rapport qu’en plusieurs occasions des soldats israéliens se sont servis de civils palestiniens y compris d’enfants comme de « boucliers humains » en les contraignant à rester à proximité de « maisons qu’ils utilisaient comme positions militaires ».
Notons que la guerre barbare sioniste contre la population civile de la bande de Gaza a tué plus de 1445 Palestiniens dont 300 enfants et des centaines de civils y compris de femmes et hommes plus âgés d’une approximative aux chiffres annoncés par le ministère de la Santé à Gaza et le Centre palestinien des droits de l’homme.
